Esse post vem do Carnet de Notes - no Le Monde, uma série de matérias sobre a expansão da videovigilância na França:
"Le président Nicolas Sarkozy a annoncé, dimanche 8 juillet, dans un entretien au Journal du dimanche avoir demandé au ministre de l'intérieur, Michèle Alliot-Marie, "de réfléchir à un vaste plan d'installation de caméras dans nos réseaux de transports en commun" pour combattre la menace terroriste. "Il y a 25 millions de caméras au Royaume-Uni, 1 million en France. Je suis très impressionné par l'efficacité de la police britannique grâce à ce réseau de caméras", a-t-il dit [...]"
"[...] La Commission alerte sur la généralisation de trois dispositifs : la vidéosurveillance, la biométrie et la géolocalisation. Elle a reçu 880 déclarations de mise en place de systèmes de vidéosurveillance en 2006, après 300 en 2005. Les techniques se sont perfectionnées, proposant jusqu'au comptage des clients entrant et sortant des magasins ou la détection de colis abandonnés. Face à la vague de législation antiterroriste, il appartient à la CNIL "d'éviter les pièges, dénoncer les illusions et combattre les mythes", pense Alex Türk, qui entend "provoquer une prise de conscience collective [...]" .
"La vidéosurveillance et les Hauts-de-Seine ? Une vieille et longue histoire qui remonte au début des années 1980 lorsque Patrick Balkany, alors maire RPR de Levallois-Perret, provoqua une tempête en annonçant qu'il allait faire surveiller les rues de sa ville par des caméras. Une décision qui déchaîna manifestations et pétitions et amena à la saisine de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) [...]".
Há ainda um video - Lyon, ville pionnière de la vidéosurveillance en France e um depoimento, disponível em audio, de Eric Heilmann, maître de conférence em Ciências da informação e da comunicação na Universidade Louis-Pasteur de Strasbourg.
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